Les collégiens Chavillois victimes de la macronie et de ses alliés LR

Des parents, pancartes à la main. Un député en campagne surpris d’être confronté à tel comité d’accueil. Telle était la scène, pas banale, dont étaient témoins les Chavilloises et Chavillois venus faire leur marché samedi 12 février.

Le collège de Chaville est actuellement percuté par la baisse du nombre d’enseignants dans le secondaire, de l’ordre de 5 000 équivalents temps pleins au cours du mandat Macron, ce qui se traduira par la fermeture de deux classes à la rentrée prochaine, alors même que l’allemand manque d’un professeur depuis deux ans pour être correctement enseigné.

 

Une situation plusieurs fois portée à la connaissance de Jacques Maire, député LREM de notre circonscription, dont les réponses sont rares, comme celles de Jean-Jacques Guillet, son allié LR à Chaville.

Pour preuve, aucune réponse n’a été donnée au recours gracieux des élus de l’opposition contre la vente à un promoteur privé de 300m2 de terrain public jouxtant ce même collège. Une vente à laquelle se sont opposés par deux fois les parents et les enseignants membres du Conseil d’administration du collège, malgré les pressions du Maire et de ses alliés LREM/EELV.

Une vente qui pourrait se faire quand même puisque la droite du 92 a choisi de passer en force avec la décision prise par le Conseil départemental de désaffecter la parcelle, permettant ainsi au Maire de Chaville de passer outre le vote du CA. Un véritable déni de démocratie locale, que nous contestons via un recours contentieux !

Recul du service public et pratique autoritaire du pouvoir, le collège de Chaville est confronté à deux des grands travers de la macronie et de ses alliés. A l’occasion de la présidentielle et des législatives, c’est tout le contraire que nous voulons, c’est tout le contraire que nous défendons !

A vos côtés, ici à Chaville, nous nous engageons.

 

Cédric Turini, Conseiller municipal

 

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